Mission 34 : Au théâtre Geek ce soir

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Tout d’abord, bonne année 2013 à tous ! Encore une mission qui s’est fait attendre : Misteur D ayant eu quelques petits soucis de santé, la mise en ligne a été laborieuse… Rien de grave les amis, l’ATG continue de plus belle en 2013, même si cet épisode marque la fin des participations régulières de Docteur Non. Il reviendra de temps à autre, quand le sujet s’y prêtera. En tout cas, on lui garde une place au chaud. Pour cet épisode, nous avons traité d’un sujet rare dans la culture geek : le théâtre. L’occasion était trop belle et nous avons répondu à l’invitation de Daphné, l’attachée de presse du Café de la Gare, pour assister à la pièce aPhone de Jérémy Manesse. Le spectacle nous ayant vraiment plu, nous recevons donc Jérémy et Daphné dans cet épisode 34. J’espère qu’ils vous donneront envie d’aller voir cette pièce. D’ailleurs, je vous propose de se retrouver tous ensemble pour aller voir ou revoir aPhone… Misteur D fixera le rendez-vous sur la page Facebook de l’ATG. En attendant, profitez de cette mission, de ses télex présentés par Misteur D et Lord Ton Père, et de son dossier théâtre où l’on parle d’aPhone, mais d’autres pièces SF du moment.

Les 1h58 dignes de l’Actor Studio en mp3 sont ici : Mission #34 : Au théâtre Geek ce soir


Comments

  1. antistress dit :

    Salut !
    Juste un petit com pour saluer les performances de Dr Non depuis le début de l’ATG : il est juste excellent.
    Et j’espère que Mr D va mieux
    à bientôt

    • DOCTEUR NON dit :

      Merci beaucoup à toi Antistress ! Cela dit, j’aurais préféré avoir fait mieux pour mon dernier ATG. D’après ce que Misteur D m’a glissé à l’oreille, les prochains numéros s’annoncent excellents, d’esprit très geek, et avec mon futur remplaçant pressenti vous ne perdrez pas au change.

      Doc Non.

  2. Mentine dit :

    Aahh comme je me déteste d’avoir manqué ce live! Si je suis « Mentine » c’est grâce au café de la Gare, c’est grâce au Graphique de Boscop, la pièce culte de 1976 où Sotha (qui joue Mentine) et Philippe Manesse ont joué, c’est parce que je vénère cette pièce et cet humour si particulier qui aujourd’hui, il faut bien l’avouer, a disparu… faute de succès. A chaque passage à Paris je fais un pèlerinage au Cdlg, un vrai temple pour moi.
    J’embrasse donc très fort Jeremy (bah oui quoi, chuis un peu sa mère en fait) et j’aimerais beaucoup faire un saut à la capitale pour voir sa pièce.

    Merci les papis geeks pour cet épisode, encore une fois au top des missions.

    Be seeing you,
    Mentine

  3. Docteur Non dit :

    Tout d’abord, désolé pour la médiocre qualité de mon intervention. J’espère que les poditeurs mais aussi les invités me pardonneront. Ma grippe me tenait plongé dans un état second tel que je n’ai pas trouvé l’occasion, ce soir-là, de placer mon petit laïus pseudo-culturel habituel ! Finalement, vous avez échappé au pire…

    Bref. Le thème science-fiction et théâtre est plus riche qu’il n’en a l’air.
    • Dès les origines du genre, notre Jules Verne national avait écrit une 40aine de pièces (opérettes, drames, comédies, mais aussi quelques pièces de SF), et les premiers films de Méliès qui s’en sont inspirés étaient très proches du théâtre.
    • Mais le thème des pièces conjecturales est bien plus ancien. Sans remonter à L’Assemblée des femmes d’Aristophane, on en trouve plein à partir du XVIIe siècle : Arlequin empereur de la Lune de Nolant de Fatouville (1684), au XVIIIe siècle L’An 2000 de Restif de la Bretonne ; à partir de la Révolution, c’est l’envolée et on trouve plein de pièces se déroulant dans la Lune ou sur Jupiter – sans compter les opéras. Exemple au XIXe siècle : Futura d’Auguste Vacquerie.
    Au XXe siècle, on ne peut éviter de mentionner la pièce R.U.R. Karel Capek, où est inventé l’androïde mais aussi le mot robot. Marcel Aymé, bien sûr. Et, des années 1910 jusqu’aux années 50, toute une ribambelle de pièces contre-utopiques ; je ne citerai que Nucléa de Henri Pichette (1952), inspiré de Métropolis.
    On trouve dans le théâtre beaucoup des thèmes de la SF littéraires : le robot, les inventions (Vieillir m’amuse de Jean-Pierre Sarrazac, 1996), le voyage dans l’espace (Kaléidoscope de Ray Bradbury, 1975), la catastrophe (Le Radeau des morts de Harald Mueller, 1985), les biotechnologies (La Cité des Clones de A. Drouet, 2002).
    • A l’inverse, le théâtre est partout dans la SF littéraire : les vers de Shakespeare qui truffent Le Meilleur des mondes de Huxley, des troupes théâtrales chez Jack Vance (Les Paladins de la Planète géante), etc.

    Voilà, c’est tout pour aujourd’hui !
    Doc Non.

  4. Avenors dit :

    Bien que plus discret que d’habitude, Docteur Non n’en est pas moins intéressant.

    Très bon podcast, comme d’habitude. Au passage, je salue l’ensemble du travail fourni par l’ATG.
    Et concernant la sortie au théâtre, est-ce toujours d’actualité ?

  5. Siddhartarus dit :

    J’avoue que le sujet ne m’emballait pas plus que ça, et puis je me suis quand même laissé tenté… Après tout, je n’ai pas loupé un seul de vos épisodes même si certains sujets m’inspiraient moins.

    Au final, un épisode agréable et des invités sympas.

    J’espère que j’aurais l’occasion d’aller voir cette fameuse pièce, au moins pour me faire un avis (ainsi que les deux autres dont vous avez parlé). Effectivement, j’ai beaucoup moins le réflexe théâtre que cinéma (à tord sûrement…).

    Merci !

    Siddh

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